« La folie n'est rien de plus que l'intelligence, lorsque la normalité est considérée comme synonyme à la stupidité. »
 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le deal à ne pas rater :
Réassort du coffret Pokémon 151 Électhor-ex : où l’acheter ?
Voir le deal

Partagez

Présentation - Izaya Orihara

Izaya Orihara
Izaya OriharaFondatrice
Messages : 20
Keep : 148
Date d'inscription : 03/09/2015

Feuille de personnage
Âge:
Métier:
Relation:
https://ikebukuro-keepout.forumsrpg.com
MessageSujet: Présentation - Izaya Orihara  Présentation - Izaya Orihara EmptyMar 8 Déc - 2:16





Prénom Nom


▲▼


NOM Ϟ Ecrire ici.

PRÉNOM Ϟ Ecrire ici.

AGE Ϟ Ecrire ici.

SEXE Ϟ Ecrire ici.

ORIGINE Ϟ Ecrire ici.

NATIONALITÉ Ϟ Ecrire ici.

ORIENTATION Ϟ Ecrire ici.

MÉTIER/CLASSE Ϟ Ecrire ici.

GROUPE Ϟ Ecrire ici.

GANG Ϟ (Si vous faites parti d'un gang) Ecrire ici.


GOÛTS Ϟ Ecrire ici.



PARTICULARITES Ϟ Ecrire ici.



▲▼


PHYSIQUE Ϟ
Ton joli petit physique ici.
10 lignes MINIMUM.

MENTAL Ϟ
Ce qui se passe dans ta petite tête, par là.
10 lignes MINIMUM.

▲▼

BACKGROUND Ϟ


Il y a deux types de personnes, vous savez. Ceux qui dorment beaucoup, qui ont le sommeil si lourd que même du métal dans les oreilles ne les ferait pas broncher d'un centimètre. Et puis il y a ceux qui possède un sommeil tellement léger que l'on en vient même à se demander si ils dorment. Il est évident que je fais partie de la seconde catégorie. Je dors très peu, il est vrai, mais n'allait pas croire que je suis fatigué pour autant ! Oh non, bien sûr que non. Je n'ai jamais eu besoin d’énormément d'heures de sommeil. Ou peut-être mon corps en a simplement prit l'habitude avec les années ? Mais peu importe.
Ce matin-là ne fût pas si différent des autres. Je me réveilla avant même que mon réveil ne sonne. Ouvrant les yeux en me tournant dans mon lit, je les posai finalement sur les chiffres rouges disposaient dans le cadrant de mon horloge électronique, et soupira. 6h28. La bouche encore pâteuse, je m'étirai longuement dans les draps douillé et encore chaud de la nuit que je venais de passer dedans, puis avec langueur, je me redressa. Mon premier réflexe fût d'attraper mon téléphone déposé sur ma table de nuit. C'est fou… Même moi, j'avais ce stupide geste matinal. A croire que c'était devenu instinctif pour n'importe qui. Je consultai rapidement mes mails, constatant encore une fois que l'on m'avait spammer durant la nuit. Ne dormaient-ils jamais ? Il faut croire que non. Un sourire apparu sur mon visage alors que je m'imaginai mes contacts exténuée de leurs nuits blanche. Un léger sursaut me secoua lorsque mon réveil se mit à sonner. J'en conclu alors qu'il devait être 6h30, l'heure à laquelle je l'avais programmé.

Finalement, je décidai enfin de m'extraire de mon lit chaud, et me dirigea vers la sortie de ma chambre, portable en main. Ouvrant la porte, je m'avança à taton dans mon appartement, jusqu'à atteindre la salle de bain. Une grimace vint déformer mon visage alors que j'allumai la lumière de la pièce. Je détestai être ébloui dès le matin… Mais bon, ce n'était pas étonnant puisque je n'avais pas été en contact avec la lumière depuis mon réveil. Comme à mon habitude, je m'approchai de ma baignoire et me fit couler un bain, tout en faisant chauffer la pièce. Il ne faut pas croire, mais je suis quelqu'un de très frileux ! J'ai une sainte horreur du froid. Et pourtant, je suis toujours gelé. C'est un comble, non ? Amusé par mes propres pensés, j'enlevai le tee shirt et le boxer qui me servait de pyjama, mettant ce dernier au linge sale puis me plongea dans l'eau bouillante de mon bain. Un frisson de bien être parcouru mon corps entier tandis que j'attrapai la télécommande posé non loin afin d'allumer la chaîne hi-fi disposait en haut d'une étagère vitrée. Une douce musique s'éleva dans la pièce, me reposant aussitôt l'esprit encore embrumé par le sommeil. Tout les grands compositeurs de musique Classique se trouvaient sur ce CD de musique, allant de Chopin à Beethoven, en passant par Bach ou bien Vivaldi. Il y avait même ce bon vieux Berlioz ou encore Debussy. Vous allez me dire qu'à mon âge, j'agis déjà comme un vieux, n'est-ce-pas ? Eh bien sachez que même à 21 ans, on peut avoir des habitudes comme celles-ci. Oui, j'ai dit 21 ans. Bon, en réalité, j'en ai 25, mais le véritable âge n'est pas celui du corps, mais celui de la tête, vous ne pensez pas ? Mais je m'égare. Je restai un bon moment ainsi, profitant de l'eau chaude tout en me préparant à la longue journée que j'allais devoir affronter, comme toujours. Pas que ce soit un véritable calvaire, mais il y a des fois où je m'en passerai bien.

Décidant que j'avais passé assez de temps dans l'eau, je me savonnai rapidement, puis sorti de l'eau. Ma main vint attrapé la serviette blanche pendu proprement non loin de moi et je me séchai tranquillement, avant de la remettre en place et d'aller me peser. Encore une fois, c'était une petite habitude à laquelle je tenais particulièrement. 58 kilogramme tout rond. Un sourire s'afficha sur mes lèvres. De ce côté là, j'étais comme une femme. Je détestai dépasser un certain poids. Actuellement, c'était parfait. Je fis ma toilette, puis, souriant, je me dirigeai vers ma chambre, nu. Après tout, je m'en fichais de me balader en tenu d'Adam. Les volets étaient fermé, et je vivais seul. Arrivé dans ma pièce à coucher, j'allumai la lumière et fouillai longtemps afin de sortir un boxer, un chandail, et un pantalon noir. Bon, je vous l'accorde, je m'habille souvent comme ça, et lorsque l'on regarde ma garde robe… Et bien c'est vrai qu'elle n'est pas très varié. Mais que voulez-vous ? Je n'ai pas le temps d'aller faire quelque chose d'aussi futile que du shopping ! J'ai une ville entière à contrôler, moi.

Je m'habillai rapidement, passant une main dans mes cheveux encore mouillé, puis je plaçai une serviette sec autour de mes épaules pour ne pas humidifier mes vêtements. Avant de sortir, j'appuyai sur le bouton pour ouvrir les volets de ma chambre, puis quitta la pièce et rejoignit le salon. Ce fût au tour de ce dernier de recevoir la lumière du jour. J'adorai cette période de la journée, ainsi que la tomber du jour. Le ciel était souvent d'une couleur rose-orangé, et je pouvais observer le soleil se lever ou se coucher derrière les immeubles. Vraiment, c'était un spectacle splendide. Certes, je ne suis pas du genre à admirer ce genre de choses, mais je ne suis pas contre un peu de beauté dans ma vie. Marchant jusqu'à la cuisine, j'en profitai pour regarder l'heure qu'il était. 7h43… Ca va, j'étais dans les temps. J'entrai dans la cuisine et me fit chauffer de l'eau chaude tout en sortant une tasse. Je me préparai un thé vert, nature, sans sucre ni lait, puis une fois fait, je partis m'installer devant mon ordinateur. Je consultai à nouveau mes mails, y répondant cette fois ci, tout en buvant ma tasse fumante, et je fis un peu de tri dans mes dossiers. Mes yeux se posèrent sur mon planning. Je souris en constatant que je n'avais presque rien de prévu aujourd'hui. Aucun rendez-vous, ni information à vendre. Du moins, pas avant que l'on me contact. Parfait, j'avais donc la journée de libre… Je m'appuyai contre le dossier de mon fauteuil en me tournant face à ma baie vitrée. Qu'est ce que j'allais bien pouvoir faire aujourd'hui ? Mon sourire s'élargit en un rictus malicieux. Il était évident que j'allais rendre une petite visite à mon cher Shizu-Chan… Je voyais déjà d'ici le déroulement des choses. Il me sentirait à des kilomètres, m’apercevrait au milieu de la foule, hurlerait mon prénom en arrachant un pauvre panneau ou distributeur et tenterait de m'ôter la vie avec cette arme de fortune. Un rire me secoua alors que je me retournai face à mon écran d'ordinateur. Je terminai ma tasse de thé, puis me leva pour la mettre dans l’évier. Namie se chargerait de la laver. Après tout, elle était la pour ça, non ? Manquerait plus que je fasse le boulot à sa place !

Cependant, pour ce matin, je me contenterai de naviguer sur le net à la recherche d'info croustillante et utile pour le futur. Je savais exactement où chercher, même si je ne savais pas encore ce que j'allais trouver. C'était amusant, car même si je détestai mon boulot, ce dernier me donnait la possibilité de rechercher plein de chose et d'être payé pour ça. Gagner de l'argent en faisant ce que l'on aime, c'était bien ce que toutes personnes de ce monde rêvait, non ? C'est pour ça que l'on faisait des études, que l'on choisissait sa branche, et qu'on l'on se démenait. C'était pour faire ce que l'on souhaitait. Moi, je n'ai pas eu à faire ça. Je vendais déjà des informations dès le lycée. Bon, certes, je n'étais pas aussi efficace que maintenant. J'étais jeune, et je débutais. Cependant, je me suis rapidement amélioré. Et puis, Informateur requière un certain sens de l'observation et une adoration pour la recherche d'informations. Or, j'étais un as en la matière.
Sur ces belles pensées, je me plongeais dans mes recherches, y passant plusieurs heures. Je saluai Namie lorsque celle ci arriva, puis la laissa vaquer à ses occupations tout en la surveillant du coin de l'oeil. Durant un temps, je me m'installai devant la télé, histoire de regarder les chaînes d'information. Certaines choses m'amusèrent, puisque lorsque j'en fût lassé, je retournai devant mon ordinateur.

Vers les 11h30, j’aperçus mon assistante qui se dirigeait vers la cuisine pour préparer le repas. Je m'arrêtai alors un instant de pianoter sur mon clavier, et l'observai longuement. En y réfléchissant, notre relation ressemblait beaucoup à celle d'une femme et son mari, même si cette idée me rebutait fortement. Elle s'occupait du ménage, de la cuisine, et de tout ce que je ne faisais pas, et moi je travaillais de mon côté. Ouais, décidément, on ressemblait vraiment à un couple. Certes un couple platonique car il n'y avait aucune relation sexuelle entre elle et moi, mais un couple tout de même. Namie n'était pas une femme repoussante, loin de là. Elle était plutôt jolie, avec de belles courbes et un physique vraiment avantageux. Peut-être que si j'avais le temps pour ces futilités, j'aurai pu tomber sous son charme, mais… Non, définitivement et catégoriquement non. Je frissonnai de dégoût en imaginant ne serait-ce que de me retrouver avec elle dans le même lit. Quelle horreur… Je me replongeai finalement dans mes occupations, jusqu'à ce que j'entende Namie m'appeler pour me dire que c'était prêt. Je mangeai rapidement une fois à table, puis débarrassai mon assiette. Je n'avais pas de temps à perdre. Il était presque 13h et le temps que je me rende à Ikebukuro, il serai bien 13h30. J'éteignis mon ordinateur, enfila mes chaussures, ainsi que ma veste et me tourna vers mon assistante.

« Je te laisse ton après-midi. Tu n'as qu'à en profiter pour passer du temps avec ton frère… Si il n'est pas avec sa petite amie. » Dis-je avec un rictus amusé aux lèvres. Je savais pertinemment que lui parler de son frère et sa petite amie la mettait hors d'elle. Et c'était ça le plus plaisant. Attrapant mes clefs, je rajoutai. « N'oublie pas de fermer à clef derrière toi ! » Sur ces mots, je sorti de mon appartement.

Je quittai finalement l'immeuble et pris le chemin du quartier de mon enfance. Il ne faisait pas encore trop froid, alors je pouvais me permettre d'y aller a pied. Et puis, un peu de marche de faisait de mal à personne ! Même si je savais que je n'allais pas tarder à courir. Heureusement que j'étais quelqu'un d'endurant et d'agile, sinon, je ne donnai pas cher de ma peau. Si je n'avais pas ces atouts, vous pouvez être sûr que Shizu-Chan m'aurait déjà achevé depuis belle lurette. Et il n'y avait pas que lui d'ailleurs. Nombreuses étaient les personnes qui avaient une dents contre moi. Franchement… Je ne vois pas du tout pourquoi. Vous la sentez l'ironie, n'est-ce-pas ? Non, en vérité, je sais pertinemment pourquoi les gens me détestent. Je suis un salaud. Je ne le nie pas, je le revendique même ! Mais ça me plaît. C'est tellement amusant de voir les différentes réactions et expressions sur les visages de ces chers humains.
Soudainement, alors que je marchais tranquillement dans les rues piétonnes, j'entendis un rugissement venant de ma droite, et j'eus tout juste le temps d'éviter le projectile qui me fût lancer. Un sourire amusé se dessina sur mon visage alors que je me tournai vers l'auteur de cet abominable crime. Je sortis mon canif, le pointant vers ce dernier, tout en prenant une position de combat. Sur mes gardes, je ne pus cependant m'empêcher de lancer une petite pique.

« Eh bien, Shizu-Chan… Tu me trouves de plus en plus rapidement. Je vais finir par croire que tu m'attends. » Une veine battante apparu sur sa tempe alors que la rage déformer les traits de son visage. Le décoloré s'approcha à grand pas de moi.

« Izaya… Sale enfoiré. Combien d'fois tu vas m'le faire dire ? Dégage d'ici ! J'veux pas te voir à Ikebukuro ! Et j'veux pas te voir tout court, d'ailleurs ! » Il arracha un panneau de circulation, comme à son habitude et essaya de me faucher avec. Mais évidemment, c'était sans compter sur mes réflexes instantanés. Je me reculai alors, évitant l'objet de quelques centimètres seulement et ricanai.

« Autant de fois qu'il le faudra, Shizu-Chan ! Continue donc de me divertir, tu veux ? » J'éclatai de rire, puis fit demi tour et prit la fuite.

Évidement, le blond suivi. Et comme toujours, je menai la danse. C'est moi qui décidai où nous allions. Il ne pouvait se contenter que de suivre et d'être le pantin de mes choix. Je tournai à droite, puis à gauche. Avec les années, j'avais fini par connaître la ville par coeur. Je savais donc exactement où aller pour le perdre, ou justement, pour qu'il me suive encore.
Ce petit manège dura un moment. Je partais, me cachais le temps de reprendre mon souffle, puis revenais. Parfois, on échangeait quelques phrases. L'un bouillant de rage, l'autre ricanant d'amusement. Tout n'avait toujours été qu'un jeu pour moi. J'étais à la fois sérieux, et désinvolte dans mes actes. Mais peu importait. Finalement, bien que ces courses poursuites soient toujours aussi divertissantes, je fini par arrêter de jouer au chat et à la souris, et m'arrangea pour qu'il perde ma trace. En regardant l'heure, je pu constater qu'il était déjà presque 18h. Eh bien ! C'est fou comme le temps passe vite quand on s'amuse. Je ricanai un instant, puis prit la route de mon appartement. Il ne me fallut pas longtemps pour arriver. Lorsque j'entrai dans mon logement, Namie avait déjà déserté. Je pu voir une petite note sur mon bureau.

« Je t'ai préparer de quoi manger pour ce soir, c'est dans le frigo. Tu n'as qu'à y faire réchauffer. Et franchement… Apprend à cuisiner. C'est grave à ton âge. »

La dernière remarque me fit lever les yeux au ciel. J'avais l'habitude qu'elle me fasse ce genre de remarque. Et pourtant, cela ne changeait rien à mon fonctionnement. J'avais autre chose à faire que d'apprendre à faire la cuisine. Je vous l'accorde, cela peut être utile. Mais pour le moment, j'ai une assistante qui le fait à ma place et c'est très bien ainsi. Me débarrassant de mes affaires, j'allumai la télé, histoire de me faire une présence, et aussi d'écouter les informations. Rien de nouveau c'était produit depuis le matin, à mon grand désarroi. Mais bon. J'avais pu embêter Shizu-Chan aujourd'hui, c'était déjà ça !
Lorsque l'heure du repas arriva, je mangeai le plat préparé par Namie, puis me posai devant l'ordinateur. Cette fois-ci, je ne fis rien pour le travail et me concentra sur mon propre loisir. Je resta longtemps, ainsi, puis lorsque je sentis la fatigue me tirailler, je décidai de couper l'ordinateur et d'aller me coucher.
Je me déshabillai alors, fît une toilette rapide et enfila simplement un boxer cette fois-ci. Une fois dans ma chambre, je me laissai tomber sur le lit, me glissant sous les draps, puis je me mis à réfléchir à la journée qui m'attendait demain. Cette fois-ci, je savais que j'avais des rendez vous important, que je ne pouvais reporter. Shiki m'avait d'ailleurs demander de passer. Allez savoir pourquoi… Mais ce qui m'importait le plus était de découvrir ce qui allait se passer. Peut-être qu'un nouveau mystère allait faire son apparition comme avec l’Éventreur ou Hollywood ? Un sourire étira mes lèvres. Et si je forçais un peu les choses… ? Je ricanai, avant de rire aux éclats. Ah, décidément… Les humains étaient des créatures si passionnantes. Prévisible, certes, mais passionnantes. Je fixai le plafond dans le noir, le regard malicieux, et le sourire malsain.

« J'aime vraiment les humains... »

Et sur ces mots, je m'endormis aussitôt.




And you


PSEUDO Ϟ Ecrire ici.

AGE Ϟ Ecrire ici.

COMMENT AS-TU CONNU LE FORUM Ϟ Ecrire ici.

QU'EN PENSES-TU Ϟ Ecrire ici.

AVATAR Ϟ Ecrire ici.



NIVEAU RP Ϟ ??/10

FREQUENCE DE CONNEXION Ϟ Ecrire ici.

LE MOT DE LA FIN Ϟ Ecrire ici

CODE Ϟ Ecrire ici.




(c) MEI SUR APPLE SPRING
Shizuo Heiwajima
Shizuo HeiwajimaAdministratrice
Messages : 8
Keep : 98
Date d'inscription : 20/11/2015

Feuille de personnage
Âge: 25 ans.
Métier: Collecteur de dette.
Relation:
MessageSujet: Re: Présentation - Izaya Orihara  Présentation - Izaya Orihara EmptyMar 8 Déc - 13:24

Bienvenue chère Admin ! En espérant que tu t'amuses bien ici !
Bref, quoiqu'il en soit, je reviendrais quand tu auras terminé ta fiche. Mais ça, tu le sais déjà...
Izaya Orihara
Izaya OriharaFondatrice
Messages : 20
Keep : 148
Date d'inscription : 03/09/2015

Feuille de personnage
Âge:
Métier:
Relation:
https://ikebukuro-keepout.forumsrpg.com
MessageSujet: Re: Présentation - Izaya Orihara  Présentation - Izaya Orihara EmptyMar 8 Déc - 13:45

Ahah ! Trop mignon. Quoi qu'il en soit, merci ! ~ (Et je suis pas Admin, je suis Fonda ! Non mais dis donc ! èwé)
Contenu sponsorisé
MessageSujet: Re: Présentation - Izaya Orihara  Présentation - Izaya Orihara Empty

Présentation - Izaya Orihara

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Ikebukuro • Keep Out :: Administration :: Présentations :: Présentations en cours-